Existe-t-il au monde un malheur plus pénible
De celui qui vous prend comme un poignard terrible,
Jusqu’au fond de vous-même, sans épargner votre âme,
Que celui de n’être pas aimé de cette femme
Qui fait de votre cœur, sans indulgence aucune,
Lit de chagrins, de pleurs, de tristes infortunes ?
Oui, tristes princesses, vous, bourreaux fanatiques
Aux yeux doux et charmeurs, à la voix hypnotique,
Vous avez sur nos cœurs bien assez de pouvoir
Pour nous jeter au fond d’un puissant désespoir.
Nous combattons l’ennui, défendons la passion.
Marche frénétique ! N’est ce qu’une illusion ?
Si l’espoir n’était plus et perdu le printemps,
Nous dirions que l’amour est le mal de ce temps.
De celui qui vous prend comme un poignard terrible,
Jusqu’au fond de vous-même, sans épargner votre âme,
Que celui de n’être pas aimé de cette femme
Qui fait de votre cœur, sans indulgence aucune,
Lit de chagrins, de pleurs, de tristes infortunes ?
Oui, tristes princesses, vous, bourreaux fanatiques
Aux yeux doux et charmeurs, à la voix hypnotique,
Vous avez sur nos cœurs bien assez de pouvoir
Pour nous jeter au fond d’un puissant désespoir.
Nous combattons l’ennui, défendons la passion.
Marche frénétique ! N’est ce qu’une illusion ?
Si l’espoir n’était plus et perdu le printemps,
Nous dirions que l’amour est le mal de ce temps.